Cependant, les déclarations, ce jour, de Rafael Grossi, directeur de l’AIEA, et d'Abbas Araghchi, ministre iranien des Affaires étrangères, divergent sur la portée réelle de l’accord. Grossi assure que l’AIEA dispose d’un accès complet à tous les sites nucléaires, tandis qu’Araghchi précise que seul le site de Bushehr est pour l’instant accessible et que la nature de l’accès aux autres installations reste à discuter.
Cet accord intervient alors que les puissances européennes ont activé le 29 août le mécanisme de « snapback » pour réimposer les sanctions internationales, suspendues depuis 2015. Israël menace, pour sa part, de nouvelles frappes si l’Iran tente de reconstituer son programme nucléaire.