A des journalistes présents dans le Bureau ovale, Trump a déclaré cette nuit (lundi à mardi): ''Si tous les otages ne sont pas libérés avant ce samedi 12h, il faut annuler le cessez-le-feu et que l'enfer soit ouvert''.
Il a précisé qu'il n'avait pas encore parlé avec Netanyahou et que cet ultimatum était de sa propre initiative mais a indiqué qu'il allait s'entretenir sur le sujet avec le Premier ministre Netanyahou.
Le Président américain a insisté sur le fait qu'il parlait de tous les otages et pas uniquement des trois qui devaient être libérés ce samedi et dont le Hamas a décidé de retarder la libération.
Trump voudrait que soit abandonné le processus de libération par vagues: ''Tout le monde'', a-t-il déclaré, ''Pas par étapes, pas deux par deux ou trois par trois ou quatre. Ce samedi à 12h sinon l'enfer s'ouvrira''. A la question de savoir ce qu'il entend par enfer, Trump a répondu: ''Le Hamas le découvrira''.
Le Président américain a répété qu'il avait été particulièrement choqué par l'état dans lequel sont revenus les otages déja libérés et suppose: ''Le Hamas a apparemment libéré ce qu'il avait ''de mieux''. Ils en ont encore à envoyer et ils pensent que leur image va en pâtir''.
Donald Trump est également revenu sur sa proposition de transfert des Gazaouis en Jordanie et en Egypte et a déclaré qu'il songeait à retirer l'aide américaine à ces deux pays s'ils refusaient d'accepter son idée.