Cette rencontre a été soulignée par le chef de la diplomatie israélienne, Guidon Saar, qui l'a sévèrement critiquée: ''Karim Khan n'a pas trouvé le temps de venir en Israël, un Etat démocratique gouverné selon les règles de l'Etat de droit et avec un système judiciaire indépendant, avant d'émettre des mandats d'arrêt contre ses leaders démocratiquement élu. Mais il a couru à Damas pour rencontre Al Julani, le chef de l'Organisation de libération du Levant (HTS - organisation définie comme terroriste par le Conseil de sécurité de l'ONU) et ancien membre opérationnel d'Al Qaïda. Montre-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es''.
Cette rencontre a été soulignée par le chef de la diplomatie israélienne, Guidon Saar, qui l'a sévèrement critiquée: ''Karim Khan n'a pas trouvé le temps de venir en Israël, un Etat démocratique gouverné selon les règles de l'Etat de droit et avec un système judiciaire indépendant, avant d'émettre des mandats d'arrêt contre ses leaders démocratiquement élu. Mais il a couru à Damas pour rencontre Al Julani, le chef de l'Organisation de libération du Levant (HTS - organisation définie comme terroriste par le Conseil de sécurité de l'ONU) et ancien membre opérationnel d'Al Qaïda. Montre-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es''.