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Les ”combines” derrière les chiffres gonflés du Hamas du nombre de victimes à Gaza

2 minutes
15 décembre 2024

ParIsraJ

Les ”combines” derrière les chiffres gonflés du Hamas du nombre de victimes à Gaza
Photo by Abed Rahim Khatib/Flash90

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D'après le ministère de la Santé du Hamas plus de 44000 personnes, en majorité des femmes et des enfants, seraient mortes dans la Bande de Gaza sous les bombes ou les balles israéliennes depuis le 7 octobre l'année dernière.

Ce chiffre est repris par tous les médias internationaux alors même qu'il a été prouvé qu'il était volontairement gonflé par les services de l'organisation terroriste afin d'accentuer le sentiment de compassion du monde envers les Gazaouis et donc de délégitimer l'action défensive israélienne.

Selon les estimations d'Israël, de l'armée américaine et d'autres services de renseignements, 17000 membres du Hamas auraient été tués lors des attaques israéliennes.

Le centre de recherche américano-britannique Henry Jackson Society a publié une étude concernant les ''combines'' utilisées par le Hamas pour gonfler le nombre de victimes et les faire passer pour une majorité de femmes et d'enfants.

Selon ce rapport, parmi les victimes de guerre déclarées par le Hamas se  trouvent au moins 5000 personnes qui sont décédées de maladie comme le cancer ou d'autres causes qui n'ont aucun lien avec l'action de Tsahal dans la Bande de Gaza.

En outre, des adultes décédés ont été déclarés comme des enfants et des hommes comme des femmes. L'âge des victimes a été de manière quasi-systématique abaissé par rapport à leur âge officiel afin de gonfler les chiffres de mineurs tués.



Par ailleurs, une partie des 44000 victimes annoncées par le Hamas ont été tuées par des roquettes du Hamas ou par les terroristes eux-mêmes notamment lors de luttes autour de la distribution de l'aide humanitaire que le Hamas contrôle d'une main de fer.




Le rapport épingle les grands médias internationaux dont la BBC, CNN ou le New York Times qui ont repris à leur compte les chiffres du Hamas mais aussi les instances de l'ONU.  ''Cela crée un narratif biaisé qui décrit les victimes comme des civils, façonne l'opinion publique internationale sur la base de données partielles et manipulées et Israël est accusé de 'génocide'', 'd'épuration ethnique' et de 'crimes contre l'humanité''', dénonce le rapport.