Le premier à l'avoir fait est la Chine. Pékin définit désormais Israël comme une destination ''orange'' sauf la zone au nord de Césarée, au sud d'Ashkelon et à l'ouest de Beer Sheva, qui restent ''rouge''.
Le Japon et la Grande-Bretagne ont rejoint la Chine.
Cette décision va avoir des effets positifs sur le tourisme mais aussi sur le monde des affaires israéliens. En effet, de nombreux hommes d'affaires chinois, notamment, s'abstenaient depuis un an de voyager en Israël compromettant un certain nombre de contrats. Par ailleurs, les assurances refusaient de prendre en charge les voyageurs qui décidaient de se rendre en Israël et beaucoup ont donc renoncé.
Désormais, ces obstacles sont levés pour la Chine, le Japon et la Grande-Bretagne et il se pourrait que d'autres pays suivent ce chemin.