
''7 octobre. La douleur demeure, aussi vive qu’il y a un an. Celle du peuple israélien. La nôtre. Celle de l’humanité blessée. Nous n’oublions ni les victimes, ni les otages, ni les familles aux cœurs brisés par l’absence ou l’attente. Je leur adresse nos pensées fraternelles'', a écrit le Président français.