Mis en suspens depuis samedi soir, les centres aérés des vacances de Pessah mais aussi les crèches et les activités des mouvements de jeunesse peuvent donc reprendre.
Les dirigeants des collectivités locales ont manifesté leur mécontentement face à cette annonce très tardive. Ainsi, le maire de Ramat Hasharon, Amir Kohavi, a souligné: ''A la tête de la Défense passive se trouve quelqu'un qui apparemment ne sait pas consulter ou ne sait pas combien de temps il faut pour préparer une structure éducative après qu'il a annoncé qu'elle serait fermée. Encore au début, on a compris, mais maintenant? Cette attitude est une honte, le personnel pédagogique n'est pas un pion sur son jeu''.
Compte-tenu du délai très court laissé aux autorités locales pour s'organiser, dans certaines localités, les structures éducatives ne rouvriront que demain.