Ainsi, la Nouvelle-Zélande a déclaré que le Hamas, aussi bien sa branche politique que militaire, était une entité terroriste qui porte la responsabilité de l'attaque du 7 octobre. ''L'organisation dans son ensemble porte la responsabilité des terribles attaques terroristes'', a déclaré le gouvernement néo-zélandais et a annoncé le lancement d'une procédure de gel des avoirs du Hamas en Nouvelle-Zélande et l'interdiction de lui fournir toute aide matérielle.
Parallèlement, le Premier ministre néo-zélandais, Christopher Luxon, a annoncé des sanctions contre plusieurs habitants juifs de Judée-Samarie, considérés comme coupables de violences envers les Palestiniens. Ces derniers sont interdits d'entrée sur le territoire néo-zélandais. Les noms qui se trouvent sur cette liste n'ont pas été publiés.
Luxon a précisé qu'il était ''très inquiet de l'augmentation de la violence extrême des colons israéliens contre les Palestiniens ces derniers mois. C'est un élément qui contribue grandement à la déstabilisation de la situation, qui est déjà très fragile''.
Rappelons que ce phénomène de ''violence des colons'' sanctionné par plusieurs pays occidentaux est inexistant. L'armée israélienne, elle-même, témoigne qu'il ne se traduit pas sur le terrain et parle tout au plus d'actes marginaux de ''criminalité nationaliste''.
Cette campagne contre les habitants juifs de Judée-Samarie est alimentée par des organisations anarchistes qui fournissent aux gouvernements étrangers des éléments sans aucune preuve afin de diffamer toute une population et nuire à l'entreprise de peuplement juif de cette région.