Ce dernier a insisté sur sa ''ferme opposition'' à toute attaque israélienne dans la ville de Rafah au sud de la Bande de Gaza.
Le cabinet de l'Elysée a déclaré: ''Une attaque israélienne sur Rafah ne peut que conduire à une catastrophe humanitaire d'une nouvelle ampleur et au déplacement contraint de populations, en violation des droits de l'homme internationaux et risque d'entrainer une nouvelle escalade dans la région''.
Macron a, par ailleurs, demandé à Netanyahou l'ouverture par Israël des frontières et notamment avec la Jordanie.