Dès son arrivée au ministère de l'Alya et de l'Intégration, Ofir Sofer (Hatsionout Hadatit) a annoncé qu'il ferait de l'alya de France une de ses priorités.
Des paroles aux actes: le ministre a lancé deux projets universitaires à destination des olim de France qui devrait encourager l'alya des jeunes juifs français.

En l'espace d'une semaine, des centaines d'étudiants français se sont déjà inscrits.

 

Les programmes universitaires destinés aux olim concernent les études d'ingénieurs et des études dans le domaine médical à l'université d'Ariel : les étudiants suivront les cours de première année dans leur langue maternelle, ils n'auront à passer ni les examens psychométriques ni l'examen Yael.
La première année de licence inclura à la fois des cours d'oulpan pour apprendre l'hébreu à un niveau avancé et des cours en français qui seront reconnus pour l'obtention du diplôme.

Pendant la durée de la licence, les étudiants olim seront encadrés par un coordinateur personnel et par des familles qui les suivront et les aideront à s'intégrer.

Le deuxième programme annoncé par le ministre, "Master.il", offre la possibilité de suivre gratuitement des études de Master en Israël. Ce programme comprendra un logement dans un des centres des jeunes en Israël pendant la première année où ils recevront des cours d'hébreu ainsi qu’un accompagnement. Le programme vise à encourager les jeunes à faire leur aliya et à les intégrer de manière optimale à la société israélienne.

Le ministre de l'Aliya et de l'Intégration, Ofir Sofer a déclaré : « Dès mon entrée en fonction, j'ai déclaré combien l’aliya des Juifs de France était importante. Les programmes que nous avons conçus constituent une nouvelle exceptionnelle pour les jeunes olim de France. Je vois l'aliya des jeunes en Israël comme un pas significatif. C'est une nouvelle importante pour l'économie, le monde universitaire et le renforcement du sionisme. Les jeunes qui viennent en Israël contribuent à renforcer l'économie du pays, prennent part au marché de l'emploi et s'intègrent
au sein de la société israélienne. »