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Quelques semaines après l'accord signé entre Israël et le Liban au sujet de leur frontière maritime et du sort du champ gazier de Kana, Israël a autorisé l'implication d'un nouvel Etat étranger sur ce territoire dévolu aux Libanais.
Selon l'accord, Israël dispose d'un droit de veto sur l'identité de la société supplémentaire qui doit procéder aux forages dans le champ de Kana, aux côtés des sociétés française Total et italienne ENI. C'est une compagnie russe qui devait travailler sur place, or il s'avère que le Qatar souhaite la remplacer.
Le ministère de l'Energie israélien a autorisé l'implication du Qatar à hauteur de 30% dans les forages. Pour l'heure, la demande du Qatar est en cours d'autorisation au Liban avant de pouvoir se concrétiser sur le terrain.