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Tout comme l'a fait le député Ahmad Tibi à la Knesset, Abou Mazen a condamné l'élimination des trois terroristes armées à Sichem en parlant "d'exécution sommaire". Sans vergogne, lors d'une cérémonie à la mémoire des trois terroristes du Fatah, le chef de l'AP a appelé à "une vengeance redoublée" estimant que les trois individus "n'attaquaient personne". Il a adressé ses condoléances aux familles "des trois shahids", terme également employé par Ahmad Tibi, et a promis "qu'il ne laisserait plus Israël commettre ce genre de crimes" (sic). Il a rajouté : "Nous avons souffert durant 73 ans mais notre patience est échue. Nous ne seront plus patients".
Les trois terroristes du Fatah avaient commis plusieurs attentats à l'arme à feu contre des soldats ou des civils, sans faire heureusement de victimes. Au moment où ils ont été éliminés, ils se rendaient sur les lieux d'une nouvelle attaque.