
A ce sujet, il faut se souvenir des propos quasi-prophétiques tenus il y a quelques années lors d'une séance à la Knesset par le brigadier-général Guy Nir, commandant du département des Renseignements de la police, qui avertissait déjà de pratiques parallèles illégales au sein de l'institution. Il parlait "d'outils utiles mais se trouvant dans de mauvaises mains" et qui représentaient un véritable danger. Il avait averti que la détention d'informations dérobées sur de nombreux citoyens représentait un grand risque de pressions. Il avait curieusement été écarté des rangs de la police sur des accusations par lettres anonymes prises en compte par Ronny Alsheikh dès le début de son mandat.
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