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L'opposition a critiqué l'adoption par la commission ministérielle de législation de la "loi de l'électricité" exigée par le parti islamique Ra'am et déposée par Walid Taha. Il s'agit d'une loi qui permettra le raccordement à l'électricité de dizaines de milliers de maisons arabes et bédouines illégalement construites en Galilée et dans le Néguev.
L'ancien ministre Israël Katz (Likoud) a écrit : "Il s'agit d'une honteuse capitulation face au Mouvement islamique ainsi qu'une discrimination flagrante envers la population normative qui obéit aux lois de l'Etat". Pour Orit Struck (Haziyonout Hadatit), le terme "innocent" de "loi de l'électricité" cache en réalité un encouragement prodigieux à la poursuite des constructions illégales arabes et bédouines en Galilée et dans le Néguev. "C'est une capitulation sioniste face au Mouvement islamique" note la députée qui députée rappelle qu'un Juif ne peut pas construire une simple terrasse sans autorisation, alors que cette loi, si elle est adoptée définitivement permettra aux Arabes et aux bédouins de construire comme bon leur semble et savoir qu'ils seront reliés à l'électricité.