Head of the Yesh Atid party Yair Lapid speaks during a faction meeting at the Knesset, the Israeli parliament in Jerusalem, on August 2, 2021. Photo by Yonatan Sindel/Flash90 *** Local Caption *** ???? ????\n?? ????\n????\n????
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Le Premier ministre "alternatif" est inquiet de la multiplication des "petites phrases" et des tiraillements au sein de la coalition. Lors de la séance de son parti Yesh Atid, il a déclaré : "Le budget n'a pas encore été voté. La coalition n'est pas encore stabilisée. Chacun de nous doit agir avec sens des responsabilités afin de maintenir cette coalition et ne pas susciter des guerres superflues. Ces derniers jours, des députés et des ministres se comportent comme si tous les problèmes étaient derrière nous, chacun tire vers soi et entraîne des titres de presse inutiles. Comme si ce gouvernement était une chose qui allait de soi. C'est la dernière chose que l'ont peut dire. C'est un miracle, mais un miracle fragile qui s'est produit en dépit de tous les pronostics. Alors, au lieu de tirer chacun de son côté, notre rôle est de faire passer le budget qui traite de ce qui est important pour les citoyens (...). Nous avons cinq semaines critiques jusqu'à ce que nous ayons adopté le budget. Sinon, il n'y a plus de gouvernement. Sans cela, personne d'entre nous ne réalisera ses rêves. Nous retournerons au chaos et au poison qui régnaient ici il y a encore quelques mois à peine. (sic)...".
Le président de Yesh Atid a voulu finir par une note positive et d'autosatisfaction, en estimant que l'attitude "libérée" des députés et ministres était probablement due à leur sentiment qui tout va bien, que les gouvernement travaille bien et se stabilise peu à peu, et que les relations sont excellentes entre les partenaires...