Mansour Abbas of the Ra'am-Balad party hold a press conference after a meeting with Israeli president Reuven Rivlin at the President's Residence in Jerusalem on April 16, 2019, as Rivlin began consulting political leaders to decide who to task with trying to form a new government after the results of the country's general election were announced a few days ago. Photo by Noam Revkin Fenton/Flash90 *** Local Caption *** ???? ?????? ?? ????? ??????????? ?? ??????? ??????\n??????\n??????\n??? ?????\n????? ????\n??????\n????????\n??"?\n??"?
Désolé, votre navigateur ne supporte pas la synthèse vocale.
Moyen de pression en prévision du vote du budget ou déception réelle ? Le président du parti islamique Ra'am a exprimé sa "profonde déception" de la coalition actuelle. Il accuse notamment le gouvernement de ne pas tenir ses engagements envers son parti "par crainte des réactions de la droite". Il va jusqu'à dire que "l'ombre de Binyamin Netanyahou plane toujours sur la coalition actuelle" et "qu'il aurait peut-être mieux fait de s'allier directement à la droite pour obtenir ce qu'il veut". Mansour Abbas a estimé que "tous les partis ont obtenu ce qu'ils ont demandé sauf le sien".
Il y a une semaine, la chaîne Hadashot 13 révélait que Mansour Abbas avait demandé à ses cadres de se préparer à de nouvelles élections, ce qui se passerait si le budget n'est pas voté par la Knesset.
Réaction du Likoud
Le Likoud s'est empressé de réagir aux propos de Mansour Abbas : "Les menaces factices de Mansour Abbas n'ont d'autre but que de présenter une situation tronquée comme si Benett et Lapid résistaient à ses exigences alors qu'ils ont déjà capitulé en bradant tout à Ra'am lorsqu'ils ont formé ce gouvernement de gauche. Abbas soit pertinemment qu'il n'a jamais reçu la moindre proposition de se joindre à une coalition de droite et que la seule alternative qui se présente à ce gouvernement est de céder à toutes ses exigences."