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Le changement de politique aux Etats-Unis va se faire sentir avec douleur. Joe Biden a nommé l'avocate Kristen Clarke au poste sensible de cheffe de la division des droits de l'homme au ministère de la Justice. Kristen Clarke, d'origine afro-américaine a à plusieurs reprises tenu des propos racistes envers les personnes de race blanche et émis des idées suprémacistes noires. Elle a notamment déclaré que les personnes de race noire "ont des aptitudes physiques et mentales supérieures à celles des blancs et des asiatiques". Des propos inverses tenus par une élue de race blanche auraient provoqué un tollé.
Mais cela ne s'arrête pas là. Lors d'un séminaire à Harvard, Kristen Clarke a invité un professeur notoirement antisémite, Tony Martin a parler d'un livre à haute teneur antisémite qu'il avait écrit, auteur de livres antijuifs, qui a prononcé un discours traînant dans la boue les Juifs, la Torah, le Talmud et Maïmonide, tous qualifiés de "racistes" et accusés d'avoir été les premiers à développer des théories racistes. Face aux protestations qui avaient suivi cette intervention, Kristen Clarke avait pris la défense de Tony Martin, parlant d'un "professeur intelligent, d'un intellectuel noir bien renseigné qui base ses informations sur des faits indiscutables".
L'attitude de Kristen Clarke à l'université de Harvard avait créé des dommages sur la campus dans les relations entre les étudiants juifs et afro-américains.
Voilà le visage que va prendre l'Administration démocrate "libérale et éclairée" et Kristen Clarke ne risquera pas d'être bloquée par Facebook, Tweeter ou Instagram.