International

Le "droit international" cette grande farce...

2 minutes
7 juillet 2020

ParIsraJ

Désolé, votre navigateur ne supporte pas la synthèse vocale.

Il n'y a pas que sur la question de la propriété juive de la Judée-Samarie que le concept du "droit international" est employé jusqu'à l'absurde.

Dans un rapport hallucinant, la Rapporteuse de l'ONU sur les exécutions extra-judiciaires, sommaires ou arbitraires décrète que l'élimination au mois de janvier du général iranien Qassem Suleimani par les Américains a été un "acte illégal et arbitraire"!! Agnès Callamard estime que les Américains "n'ont pas apporté de preuves suffisantes quant au danger imminent qu'aurait représenté pour eux le commandant de la Force Quds" et que dès lors, l'élimination de ce terroriste international par une attaque de drone a constitué un "viol de la Charte des Nations Unies"!

Parmi les lignes d'anthologie de son rapport, Agnès Callamard écrit aussi : "A la lumière des preuves fournies jusqu'à présent par les Etats-Unis, le ciblage du général Soleimani, et la mort de ceux qui l'accompagnaient, constituent un assassinat arbitraire dont les Etats-Unis sont responsables en vertu du droit international humanitaire"! Un droit humanitaire qu'appliquait par contre avec méticulosité le général Suleimani, responsable des toute la stratégie terroriste iranienne à l'étranger.

Et qu'auraient dû faire les Etats-Unis, selon la "vilaine rapporteuse? "Aucune preuve n'a été apportée pour montrer que les Etats-Unis n'ont pas eu le temps de demander l'aide de la communauté internationale, y compris du Conseil de sécurité des Nations unies, pour faire face à des menaces imminentes présumées".

En clair, les Américains auraient du d'abord demander l'aide de l'Onu et de la communauté internationale qui auraient probablement envoyé une lettre de convocation à Qassem Suliemani pour venir s'expliquer sur ses intentions pacifiques.

Agnès Callamard a probablement du mal à comprendre ce qu'est la pieuvre terroriste.

Le "droit international" invoqué pour dénoncer le combat contre le terrorisme n'est pas nouveau. En juillet 1976, il y a 44 ans presque jour pour jour, Israël était accusé par des nombreux pays d'avoir "violé le droit international" pour avoir envoyé ses soldats en Ouganda pour sauver les otages à Entebbé. Le gauchiste français Alain Krivine avait même qualifié Israël "d'as la piraterie internationale"...

Photo Wikipedia