L'ancien ministre de la Défense est revenu sur son mantra en répétant que son parti ne fera pas partie d'un "gouvernement orthodoxe-messianique"(sic) accusant la coalition actuelle de ne pas représenter la vraie droite, contrairement à Israël Beiteinou.
Et comme avant les élections, Lieberman a rappelé les principes qui guideront son attitude dans les prochains jours: non à de nouvelles élections, non à Netanyahou et sa coalition "orthodoxes-messianiques" et non à la Liste arabe unifiée. Pour le "oui"...." il a repris son slogan de "gouvernement national libéral" qui reste toujours un mystère tant sur le plan arithmétique que politique.
Photo Meïr Vaknin / Flash 90